Origine et histoire des bonbons Arlequin

origine et histoire bonbon arlequin

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L’origine du bonbon arlequin

 

On pourrait croire que ces petits losanges acidulés ont toujours été là, mais non ! Les bonbons arlequin ont fait leur entrée fracassante dans le monde de la gourmandise en 1993, et non dans les années 70 ou 80 comme certains pourraient le penser.

 

C’était l’époque des jeans taille haute et des boys bands. Pendant ce temps, chez Lutti, on a eu cette idée lumineuse, “Et si on faisait un bonbon qui claque, qui a du pep’s ?”. Et paf ! Les bonbons Arlequins ont vu le jour, inspirés de ce bon vieux personnage d’Arlequin avec son costume tout coloré.

 

C’était une petite révolution. Le premier bonbon acide qui a débarqué sur le marché français. Et depuis, que ce soit pour une pause douceur ou pour un coup de boost, ces petites merveilles sont devenues des stars dans nos poches et nos sacs.

 

Alors, la prochaine fois que tu croqueras dans un Arlequin, pense à ça, tu mâches un bout des années 90, une époque où tout était un peu plus pétillant, un peu plus coloré. Comme ces bonbons, quoi !

 

 

Petite anecdote

 

Savais-tu que Lutti, avant de devenir célèbre pour ses bonbons Arlequins, était déjà un pionnier dans le monde de la confiserie ? En effet, Lutti a été l’une des premières entreprises à introduire les bonbons gélifiés en France. Ces bonbons gélifiés, tu sais, ceux qui sont un peu mou et super agréables à mâcher ?

 

Eh bien, Lutti a été l’un des premiers à les proposer sur le marché français, apportant ainsi une toute nouvelle texture dans l’univers des confiseries. C’est un peu grâce à eux si aujourd’hui on peut savourer toutes sortes de bonbons gélifiés, des oursons aux vers en passant par les fameux Scoubidous ! Alors, la prochaine fois que tu te délecteras d’un bonbon gélifié, pense à Lutti, le précurseur de cette révolution gourmande.

 

 

Quels sont les ingrédients contenus dans les bonbons arlequin ?

 

Ces petits bonbons flashy sont composés de plein de petites choses. On a du sirop de glucose, le grand frère sucré qui tient le fort. Ensuite, le sucre vient se mêler à la fête pour rajouter de la douceur à la douceur. L’acide citrique, c’est celui qui te fait grimacer de plaisir avec son goût acidulé.

 

Et l’arôme alors ? Ce petit mystère sucré, c’est le magicien du lot, celui qui donne à chaque bonbon son petit truc en plus. Et pour finir, les colorants (E100, E141, E160c, E163), c’est la touche finale, pour rendre chaque bonbon aussi beau à voir qu’à croquer.

 

 

Parlons chiffres et sucre

 

Bon, t’es prêt pour un petit cours express de nutrition version Arlequin ? Pour 100g de bonbons, voilà ce qu’on a :

  • Énergie: 1634 kJ / 384 kcal. Parfait pour te booster !
  • Matières grasses : Seulement 0,1 g. On est là pour le fun, pas pour les lipides, hein !
  • Dont acides gras saturés : 0 g. Clean !
  • Glucides : 94 g. C’est la base, non ?
  • Dont sucres : 58 g. Oui, on est dans le domaine du sucré, on assume à fond !
  • Protéines : 0 g. Pas de muscles ici, que du plaisir.
  • Sel : Un minuscule 0,01 g. Juste pour dire qu’il est là.

 

Valeurs Nutritionnelles
Energie 1634 kJ / 384 kcal
Matières grasses 0,1 g
…dont acides gras saturés 0 g
Glucides 94 g
…dont sucres 58 g
Protéines 0 g
Sel 0,01 g

 

 

Le processus de fabrication du bonbon arlequin en 6 étapes

 

 

1. Préparation du sirop de base

 

On démarre avec la base de tout bonbon : le sirop. Dans les usines, des machines géantes mélangent du sucre et du glucose avec de l’eau. Imagine un chaudron géant, mais avec des boutons et des écrans de contrôle. Le mélange est chauffé jusqu’à ce qu’il devienne un sirop épais. C’est un peu la magie de la confiserie en action !

 

 

2. Acidification et aromatisation

 

Une fois que le sirop est prêt, on passe à l’étape de l’acidification. On ajoute de l’acide citrique pour donner ce petit côté piquant aux bonbons. C’est là que ça devient intéressant : on ajoute aussi les arômes. Fraise, citron, ou un mystérieux mélange ? C’est selon la recette secrète de chaque fabricant.

 

 

3. Colorer la vie

 

Maintenant, place aux colorants. Des machines spéciales ajoutent des colorants alimentaires pour donner à chaque bonbon sa couleur unique. C’est comme un artiste qui peint, mais ici, c’est une machine qui fait le travail, ajoutant des teintes éclatantes à la pâte de bonbon.

 

 

4. Mise en forme

 

Une fois que la pâte est aromatisée et colorée, il faut lui donner forme. Pour des bonbons comme les Arlequins, on utilise souvent des moules en losange. La pâte est versée dedans, puis refroidie pour qu’elle prenne la forme parfaite. C’est un peu comme faire des biscuits, mais en mode industriel.

 

 

5. Le sucrage final

 

Enfin, on arrive à l’étape du sucrage. Les bonbons sont roulés dans du sucre fin pour obtenir cette texture croquante à l’extérieur. C’est la touche finale qui fait toute la différence. Imagine une pluie de sucre qui vient enrober chaque bonbon, comme une douce neige sucrée.

 

 

6. Emballage et expédition

 

Dernière étape, mais non la moindre : l’emballage. Les bonbons sont emballés individuellement ou mis en sachets, prêts à être expédiés aux magasins. C’est là que notre voyage dans l’usine se termine, mais celui des bonbons ne fait que commencer.

La palette de saveurs des Arlequins

Un Arlequin ne se contente pas d’attirer l’œil par ses couleurs vives. Sa véritable singularité réside dans l’explosion de saveurs qu’il offre à chaque bouchée. Ces bonbons allient plusieurs goûts fruités, avec une légère acidité qui fait pétiller les papilles. Chaque couleur correspond à un goût différent, ce qui rend chaque bouchée unique et inattendue.

L’impact des Arlequins sur le marché de la confiserie

Depuis leur création, les Arlequins sont devenus un véritable phénomène dans l’univers de la confiserie. Bien que Lutti ne publie pas de chiffres exacts sur les ventes annuelles d’Arlequins, on estime qu’il se vend plusieurs millions de paquets chaque année. Leur popularité ne cesse de croître, aussi bien en France qu’à l’international, prouvant que ces bonbons ont su conquérir le cœur des gourmands de tous âges.

La recette de la glace au bonbon Arlequin

Bien plus qu’un simple bonbon

Une source d’inspiration artistique

L’Arlequin, avec son apparence unique et colorée, a inspiré de nombreux artistes, créateurs et designers. Son design multicolore a été repris dans de nombreux arts, notamment la mode, la décoration d’intérieur, et même le tatouage. Les créateurs trouvent dans l’Arlequin un moyen d’exprimer la joie, la diversité et l’originalité.

Un engagement environnemental

Dans un monde de plus en plus conscient de l’importance de la durabilité, Lutti a pris des mesures pour réduire l’impact environnemental de la production des Arlequins. Les emballages sont désormais plus écologiques, et la marque s’efforce de minimiser l’utilisation de matières plastiques. De plus, Lutti travaille à améliorer l’efficacité énergétique de ses usines, contribuant ainsi à la protection de notre planète.

L’Arlequin et la science

Étonnamment, l’Arlequin a également trouvé sa place dans le domaine scientifique. Des chercheurs en psychologie et en neurosciences ont utilisé ce bonbon dans leurs études pour comprendre comment notre cerveau perçoit et traite les informations sur le goût et la couleur. Les résultats ont mis en évidence l’influence des couleurs sur notre perception du goût, renforçant ainsi le statut d’Arlequin en tant que bonbon innovant.

 

L’Arlequin est plus qu’un simple bonbon, c’est une tradition qui se transmet de génération en génération. Il est le compagnon des moments de joie, des fêtes d’anniversaire aux réunions de famille. Il incarne l’insouciance de l’enfance, mais aussi la gourmandise à tous les âges. En dégustant un Arlequin, nous partageons tous une part de cette tradition, unissant les gourmands du monde entier.

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